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le vent nous portera
13 janvier 2013

The glorious dead

 

The-Heavy1

Un grand album de genre, avec comme imagination des zombies et de la sueur. Marcher dans le passé, jouer dans le présent et rester dans la tête des gens. Depuis “Great Vangeance & Furious Fire” (clin d’oeil à Pulp Fiction), le groupe Anglais a éviter de manger des blattes, et crève pas la dalle… enfin si, ils ont la dalle d’être au moins un des meilleurs groupes du monde. Dans chaque album de The Heavy, il y a toujours un soupçon d’efficacité qui fait qu’on hésite peu de les éviter. Ici la thématique est encore plus poussé vers une musique hors d’âge, mélange entre Rock ; Soul crasseux ; Funk et surtout un sens de l’accroche qui marche à chaque fois. Chez eux, la mort leur vas très bien, même si en terme d’introduction il n’aime pas jouer avec elle (Can’t Play Dead), mais plutôt avec les codes des films du genre (“Plus effrayant que Dracula, plus sauvage que le Loup Garou…”). Le groove est omniprésent et garde une sacré pêche (What Makes A Good Man?), même quand le chanteur se transforme en animal de la nuit (Big Bad Wold). Un grand album de genre, avec comme imagination des zombies et de la sueur. Marcher dans le passé, jouer dans le présent et rester dans la tête des gens. Depuis “Great Vangeance & Furious Fire” (clin d’oeil à Pulp Fiction), le groupe Anglais a éviter de manger des blattes, et crève pas la dalle… enfin si, ils ont la dalle d’être au moins un des meilleurs groupes du monde. Dans chaque album de The Heavy, il y a toujours un soupçon d’efficacité qui fait qu’on hésite peu de les éviter. Ici la thématique est encore plus poussé vers une musique hors d’âge, mélange entre Rock ; Soul crasseux ; Funk et surtout un sens de l’accroche qui marche à chaque fois. Chez eux, la mort leur vas très bien, même si en terme d’introduction il n’aime pas jouer avec elle (Can’t Play Dead), mais plutôt avec les codes des films du genre (“Plus effrayant que Dracula, plus sauvage que le Loup Garou…”). Le groove est omniprésent et garde une sacré pêche (What Makes A Good Man?), même quand le chanteur se transforme en animal de la nuit (Big Bad Wold). Un troisième album qui possède un son bien chaud et gonflé à bloc, et ceci grâce à l’oreille des Dap Kings, qui possède toujours un élan d’idée pour envoyer la sauce. Parfois plus posé en forme de Slow Soulful’ pour le bal de fin d’année (Blood Dirt Love Stop), une grande classe s’affiche et on ne rigole plus. Lourd et Rock’n’Roll, The Heavy assume un esprit de film Hollywoodien (Same Ol’) et s’amuse à jouer avec l’esprit du Blues des grandes plaines Américaines, avec un refrain à chanter près d’un feu (The Lonesome Road). Un disque sans pastiche et à élever au grand art de la “Real Good Music”(jugger webzine)

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