6 février 2013
The deserters
De l’étrangeté, beaucoup de romantisme, une certaine attraction pour les ambiances liturgiques, il y a tout cela dans ce premier album suffisamment intemporel pour parvenir à déstabiliser son auditeur. Comme si bizarrement on se connectait avec le bal des voix trop oubliées, celle de Julee Cruise, d’Elizabeth Frazer, et même parfois de Karen Carpenter. Oui, la voix aérienne et cotonneuse de Rachel Zeffira est sans nul doute le premier argument de ce disque hivernal.(France inter)
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